Accompagnement
Individuel
et collectif
Diagnostique
Interactionnel
Conseil
&
Formation
Traitement
des
Conflits
Une approche Intelligente car elle s'appuie sur une méthode structurée et encadrée, alliant mesure et évaluation de la qualité des relations sociales (SRQ, QVT, RPS, RPC) et incluant, à la demande, la mise en place et le suivi du plan d’actions.
Une approche Collective car elle s'appuie sur la diversité cognitive. Pour faire simple, la diversité cognitive est liée aux parcours personnels et aux connaissances différentes des intéressés (nous, vous) et donc aux approches des problèmes différentes. Ce que je pense, comment je pense, ce que j’ai appris, comment je l’ai appris : cette diversité est au cœur de nos différences, elle s’exprime de manière très explicite dans l’entreprise. Bien gérée, elle booste l’innovation, la créativité, l’engagement et le bien-être. L’enjeu de la diversité cognitive c’est l’opportunité de réunir ensemble des individus d’expériences différentes, qui produiront des choses différentes, pour un même but donné.
La méthode HEAR-to-PLAN
Parce que nos comportements vont être la clef dans un contexte de reprise tendu et incertain. Les managers vont devoir posséder des outils pratico-pratiques, pour définir, convaincre et faire adhérer les collaborateurs à des comportements à la fois efficients, sanitaires et solidaires.
Définir clairement ce que doivent être les comportements attendus et ceux qui seront sanctionnables ou sujets à recadrage. Convaincre par la participation de tous, obtenir des contributeurs (collaborateurs) qu’il n’y aura pas de reprise sereine sans un respect des consignes, sanitaires ET comportementales. Faire adhérer c'est mobiliser, motiver et responsabiliser. C'est la garantie d’une mise en oeuvre appliquée des comportements.
Comment faire ? Grâce aux échelles de niveaux de pratiques.
L’évaluation des pratiques professionnelles reste souvent aujourd’hui un exercice difficile pour les managers, comme pour les collaborateurs. Un exercice annuel ou bi-annuel, pendant lequel le collaborateur s’attache la plupart du temps à obtenir la meilleure note au regard de critères parfois subjectifs. L’évaluation des pratiques professionnelle prend tout son sens lorsqu’elles s’octroient de pouvoir sortir de l’unique exercice annuel. Tout collaborateur a connaissance du cadre et des règles du jeu qu’il s’est engagé à respecter par le biais d’un contrat de travail. La direction, les managers, les salariés doivent tous être à même de pouvoir observer chacun des comportements des personnes de son entourage et de réaliser un recadrage lorsque cela est nécessaire. Voire même d’assurer et d’assumer ses propres recadrages par sa propre auto-évaluation. L’attitude et le comportement de chacun contribue au développement de l’entreprise toute entière, si toutefois cette composante de la compétence est correctement mesurée.
PREMIER PARADIGME : tout n’est pas binaire.
Pour réaliser une tâche, pour résoudre un problème, il n’y a pas que la “bonne” ou la “mauvaise” façon de s’y prendre. Il y a différentes conduites possibles. Même si certaines pratiques ne tendent pas vers l’excellence, elles ont le mérite de parvenir à un résultat que l’on s’attachera à faire progresser de façon plus ou moins pédagogique.
DEUXIEME PARADIGME : la subjectivité de la mesure
L’évaluation des savoirs-être fait souvent appel à la subjectivité de l’évaluateur qui elle-même fait face à la susceptibilité de l’évalué. Comment ne pas alors tomber dans un dialogue de sourds. L’exercice annuel de l’évaluation devient alors compliqué lorsque les managers n’ont pas les outils de mesure adéquat lorsqu’il s’agit d’aborder la personnalité des évalués au travers de leurs pratiques professionnelles.
TROISIEME PARADIGME : une pédagogie orientée vers l’apprenant
Une action réalisée en dehors de la norme établie fait souvent l’objet d’un recadrage amenant le « recadré » à réaliser cette tâche « comme il faudrait la faire » (souvent admise comme l’unique façon de faire), sans se soucier de la marge de progression acceptable ou réaliste pour la personne concernée. Modifier les pratiques de façon pérenne et efficiente requiert beaucoup de pédagogie de la part des managers, des tuteurs ou des référents.
LES ECHELLES DES NIVEAUX DE PRATIQUES : mesurer différents degrés d’efficacité
Les échelles des niveaux de pratiques (ENP) ont été créées par le cabinet AxciomeC® et hiérarchisent les conduites professionnelles répondant à une même situation, en fonction de leur degré d’efficacité. La notion d’échelle indique qu’il y a progression vers l’atteinte du meilleur niveau d’efficience selon différentes variables (la ponctualité pour une échelle de gestion du temps, l’écoute pour une échelle de gestion de l’accueil, l’accueil pour une échelle de mesure de la relation client, le recadrage pour un acte managérial, l’interactivité pour une action pédagogique, l’entraide dans le cadre d’une action collective, l’altérité dans un travail de groupe, l’empathie pour un médecin, l’argumentation pour un vendeur, etc.).
La hiérarchisation des pratiques proposée vise l’efficience. L’efficience s’entend ici comme le rapport efficacité/coût, la plus forte efficience correspondant donc à l’effet le plus important pour le même coût, ou bien le même effet au moindre coût. En fonction de l’objectif poursuivi, telle ou telle pratique sera plus ou moins efficiente.
Dans l’exercice professionnel quotidien, les clients ne réagissent pas forcément comme on le décrit dans les manuels de vente, les collaborateurs ne se comportent pas nécessairement comme on le présente dans les séminaires d’animation et même les machines, les processus de production, subissent régulièrement des variations, plus ou moins grandes et plus ou moins aléatoires.
La compétence, comme réponse construite face à une situation professionnelle réelle, se décline sur plusieurs niveaux en fonction de l’ampleur des distorsions auxquelles l’individu doit faire face mais aussi en fonction de l’impact de ses distorsions sur le comportement de l’individu concerné. Le traitement des anomalies et des distorsions est révélateur du niveau de « compétence ». En poste, il y a les opérateurs qui s’arrêtent dès qu’un problème survient, et appellent au secours un collègue ou le responsable. Il y a les opérateurs qui se débrouillent assez souvent pour s’en sortir seuls. Et enfin, il y a les opérateurs qui trouvent des solutions originales face aux problèmes, et qui sont sollicités là où tous les autres ont échoué. Ce sont souvent ces derniers qui sont considérés comme compétents.
Cette logique prend la forme d’une matrice qui définit succinctement le niveau de traitement des anomalies et les répercussions sur l’environnement.
Quelques exemples de mise en application :
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